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La deuxième source de financement des élites dirigeantes, outre l’argent extorqué au public sous forme d’impôts, provient des banques centrales.
Les banques centrales sont autorisées à créer du papier-monnaie à partir de rien.
Cela réduit le pouvoir d’achat de l’argent et détruit l’épargne des classes moyennes.
Cela ne permet pas et ne peut pas enrichir la société dans son ensemble, mais cela redistribue les revenus et les richesses au sein de la société.
Les premiers bénéficiaires de l’argent nouvellement créé, c’est-à-dire généralement les élites dirigeantes, sont ainsi rendus plus riches et les derniers receveurs, c’est-à-dire le citoyen moyen, sont appauvris.
La manipulation des taux d’intérêt par la banque centrale est la cause des cycles de crises économiques.
La banque centrale permet l’accumulation d’une « dette publique » toujours plus lourde qui est transférée à des futurs contribuables inconnus ou qui est simplement masquée par l’inflation.
Et en tant que pourvoyeurs de la dette publique, les banques centrales sont aussi les pourvoyeurs des guerres.
Cette monstruosité doit cesser et être remplacée par un système de services bancaires libres et compétitifs, fondé sur une véritable monnaie marchande telle que l’or et l’argent.
Cinq : Abolir toutes les lois et réglementations de « discrimination positive » et de « non-discrimination ».
Tous ces textes sont des violations flagrantes du principe de l’égalité devant la loi qui, du moins en Occident, est intuitivement perçu et reconnu comme un principe fondamental de la justice.
En tant que propriétaires privés, les personnes doivent être libres de s’associer ou de se dissocier avec d’autres : inclure ou exclure, intégrer ou ségréguer, rejoindre ou séparer, unifier et incorporer ou désunir, sortir et faire sécession.
Fermez tous les départements universitaires d’étude sur les Noirs, Latino, Femmes, Genres, « Queers » et autres comme incompatibles avec la science et en renvoyer les enseignants comme imposteurs intellectuels ou canailles.
De même, exiger que tous les commissaires à la discrimination positive, les responsables de la diversité des ressources humaines, des universités jusqu’aux écoles et aux maternelles, soient jetés à la rue et forcés d’apprendre un métier utile.
Six : Écrasez la foule « anti-fasciste ».
La trans-évaluation de toutes les valeurs à travers l’Occident, l’invention de toujours plus de « groupes de victimes », la diffusion de programmes de discrimination positive et la promotion incessante du politiquement correct ont conduit à la montée d'une foule « antifasciste ».
Soutenue tacitement et indirectement financée par les élites dirigeantes, cette foule de « Guerriers de Justice Sociale » autoproclamés s’est donnée pour tâche d’intensifier la lutte contre le « privilège blanc » par des actes délibérés de terreur dirigés contre quiconque et tout ce qui est jugé « raciste », de « droite », « fasciste », « réactionnaire », « incurable » ou « non reconstruit ».
De tels « ennemis du progrès » sont agressés physiquement par la foule « anti-fasciste », leurs voitures sont incendiées, leurs biens sont vandalisés et leurs employeurs menacés de devoir les licencier et de ruiner leur carrière – tout cela alors que la police reçoit ordre du pouvoir de « démissionner » et non d’enquêter sur les crimes commis et de poursuivre et punir les criminels.
Devant cet outrage, la colère du public doit être éveillée et il faut des protestations, haut et fort, pour que la police ne soit plus retenue et que cette foule soit battue et se soumette.
Maintenant, voici une requête pour les libertariens liberallala et les « Stupides pour la liberté », qui vont évidemment s’opposer à cette exigence au motif que la police en charge d’écraser la foule « anti-fasciste » est la police d’état.
Une question pour eux : Objectez-vous également, pour les mêmes motifs, à voir la police arrêter des meurtriers ou des violeurs ? Ces tâches légitimes ne seraient-elles pas exécutées de même dans un ordre libertarien par la police privée ?
Et si la police n’a pas le droit de faire quoi que ce soit envers cette foule, n’est-il pas logique alors que la cible de ces attaques, à savoir la soi-disant « droite raciste », doive se charger de donner une correction aux « guerriers de la justice sociale » ?
Sept : Écrasez les criminels de rue et les gangs.
En dérogeant au principe de l’égalité devant la loi et en accordant toutes sortes de privilèges collectifs – sauf au groupe que j’ai évoqué [celui des chrétiens blancs mariés et de leurs familles] - les élites dirigeantes ont en plus renoncé au principe de l’égalité des peines pour un même crime.
Certains groupes aux faveurs de l’état se voient infliger des peines plus clémentes pour le même crime comparé à d’autres, et certains groupes particulièrement appréciés sont tout simplement laissés partir en vrille et restent pratiquement impunis, ce qui favorise effectivement et efficacement le crime.
De même, les zones interdites ont été autorisées à se développer là où les forces de l’ordre ont pratiquement cessé d’exister et où des voyous violents et les gangs de rue ont pris le dessus.
A cette lumière, il faut provoquer la fureur du public et exiger sans équivoque que la police réprime sévèrement tous les voleurs, agresseurs, violeurs et meurtriers, et nettoie impitoyablement tous les secteurs interdits par des gangs violents.>>
A suivre...
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