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Il s’ensuit que la soi-disant stratégie hayékienne du changement social, laquelle envisage la diffusion des vraies idées libertariennes en partant du sommet, des philosophes les plus importants puis de là descendre vers les journalistes et finalement toucher les grandes masses aux cerveaux non lavés, doit être considérée comme fondamentalement irréaliste.
Au contraire, toute stratégie libertarienne réaliste de changement doit être une stratégie populaire.
Autrement dit, les libertariens doivent court-circuiter les élites intellectuelles dominantes et s’adresser directement aux masses pour lever leur indignation et leur mépris des élites dirigeantes.
Et ensuite, alors même que la principale cible d’un message libertarien populaire doit être le groupe des blancs indigènes dépossédés et privés de leurs droits, je crois que ce serait une grossière erreur stratégique de faire de la « blancheur » le critère exclusif sur lequel baser ses décisions stratégiques, comme certaines branches de l’Autre Droite ont suggéré de le faire – bien à tort, je crois.
Après tout, ce sont surtout des hommes blancs qui constituent l’élite dirigeante et qui nous ont imposé le bazar actuel.
Certes, les diverses « minorités » protégées évoquées précédemment tirent pleinement avantage des privilèges légaux qui leur ont été accordés et elles sont devenues toujours plus enclines à demander encore plus de « protection ».
Mais aucune d’entre elles ni toutes ensemble n’ont ni n’avaient les aptitudes intellectuelles qui auraient rendu ce résultat possible, sans leur instrumentation par l’aide quelles ont reçue et reçoivent des hommes blancs.
Maintenant, en reprenant les indices des mouvements de Buchanan, de Ron Paul et de Trump, avançons sur les spécificités d’une stratégie populaire pour le changement libertarien, sans ordre particulier, sauf la première, qui a pris la plus grande urgence dans l’esprit du public.
Un : Cesser l’immigration de masse.
Les vagues d’immigrants qui inondent actuellement le monde occidental l’ont encombré de hordes de parasites de l’assistance, ont apporté des terroristes, augmenté le crime, conduit à la prolifération de zones interdites et ont entraîné d’innombrables « mauvais voisins » qui, en raison de leur éducation, culture et traditions étrangères et étranges, manquent de toute compréhension et appréciation de la liberté et vont forcément devenir de futurs partisans aveugles du bien-être-étatiste.
Personne n’est contre l’immigration et les immigrants en soi. Mais l’immigration doit être sur invitation seulement.
Tous les immigrants doivent être des personnes productives et, par conséquent, être exclus de tous les systèmes d’aide sociale nationaux.
Pour ce faire, leurs hôtes invitant ou eux-mêmes doivent établir un lien avec la communauté dans laquelle ils vont s’installer, lequel doit être confisqué pour conduire à l’expulsion de l’immigrant si un jour il devenait un fardeau public.
De plus, chaque immigrant, partie invitante ou employeur devrait non seulement payer pour les charges ou le salaire de l’immigrant, mais aussi payer la communauté résidentielle pour toute usure supplémentaire de ses installations publiques liée à la présence de l’immigrant, afin d’éviter la socialisation de tous les coûts encourus suite à son installation.
De plus, avant même son admission, chaque immigrant potentiel et invité doit être soigneusement examiné et vérifié non seulement quant à sa productivité mais aussi quant à ses affinités culturelles ou « capacité de bon voisinage » - avec le résultat empiriquement prévisible – mais en aucun cas exclusivement – de candidats immigrants la plupart du temps occidentaux blancs.
Et tout communiste ou socialiste connu, de toute couleur, dénomination ou pays d’origine, doit être exclu de tout installation permanente - à moins que la communauté où l’immigrant potentiel veut s’installer ne sanctionne officiellement le pillage des biens de ses résidents par l’arrivée de nouveaux étrangers, ce qui est pour le moins très peu probable, même au sein des communautés communistes déjà existantes.
Maintenant, un bref message à tous les libertariens « open-border » (NdT pro-ouverture des frontières) et liberallala, qui vont sûrement étiqueter cela, vous l’avez deviné, comme « fasciste ».
Dans un ordre libertarien entièrement privatisé, il n’existe pas de droit à l’immigration libre.
La propriété privée implique des frontières et le droit du propriétaire d’exclure à volonté.
Et la « propriété publique » a elle aussi des frontières. Elle n’est pas sans propriétaire.
Elle est la propriété des contribuables nationaux et certainement pas la propriété des étrangers.
Et s’il est vrai que l’état est une organisation criminelle et que lui confier la tâche du contrôle des frontières entraînera inévitablement de nombreuses injustices tant pour les résidents nationaux que pour les étrangers, il est également vrai que l’état fait quelque chose lorsqu’il décide de ne rien faire en matière de contrôle des frontières et que, dans les circonstances actuelles, si l’état devait ne faire aucun contrôle des frontières, cela conduirait à des injustices encore plus graves que toute autre politique, en particulier pour les citoyens nationaux.
Deux : Cesser d’attaquer, de tuer et de bombarder les gens dans les pays étrangers.
Une cause principale, même si elle n’est pas la seule, de l’invasion actuelle des pays occidentaux par des hordes d’immigrants étrangers, vient des guerres initiées et menées au Moyen-Orient et ailleurs par les élites dirigeantes américaines et leurs élites marionnettes occidentales.
De plus, les attaques terroristes omniprésentes apparaissant désormais « normales », au nom de l’islam à travers le monde occidental, sont en grande partie un « retour de flamme » de ces guerres et du chaos qui s’ensuit dans tout le Moyen-Orient et en Afrique du Nord.
Il ne devrait y avoir aucune hésitation de notre part à nommer ces dirigeants occidentaux comme responsables de ce qu’ils sont : des meurtriers ou des complices d’un meurtre de masse.
Nous devons exiger et hurler au contraire en faveur d’une politique étrangère de strict non-interventionnisme.
Nous retirer de toutes les organisations internationales et supranationales telles que les Nations Unies, l’OTAN et l’Union européenne qui intriguent et poussent les pays à se mêler des affaires intérieures des autres.
Cesser toute aide de gouvernement à gouvernement et interdire toutes vente d’armes à des états étrangers.
Allons vers l’Amérique d’abord !, l’Angleterre d’abord !, l’Allemagne d’abord !, l’Italie d'abord !, la Turquie d’abord !, et la Petite Bavière d’abord ! et la Vénétie d’abord ! et ainsi de suite.
Chaque pays échange avec les autres et personne n’intervient dans les affaires intérieures de quelqu’un d’autre.
Trois : Défaire les élites dirigeantes et leurs gardes du corps intellectuels.
Exposer et rendre largement public les somptueux salaires, avantages, retraites, pots-de-vin et dessous de table reçus par les élites dirigeantes : par les hauts fonctionnaires et les bureaucraties gouvernementales, les cours suprêmes, les banques centrales, les services secrets et les agences d’espionnage, par des politiciens, parlementaires, chefs de partis, par les conseillers politiques et consultants, par les capitalistes pourris, les « éducateurs publics », les présidents d’universités et leurs directeurs, et les « vedettes » universitaires.
Faire connaître le fait que toute leur gloire étincelante et leur luxe sont financés par de l’argent extorqué aux contribuables, et par conséquent insister pour que toutes les taxes soient réduites : impôts sur le revenu, impôts fonciers, taxes sur la vente, droits de succession et ainsi de suite.>>
A suivre...
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